Selon le profil de l'auditeur, il faudra peut-être deux, parfois quatre notes ou même deux minutes pour le remarquer : vous êtes sur le terrain de Bohren. L'utilisation de l'orgue vous met déjà à genoux et le saxophone à venir dirige la tension vers le sommet de l'échelle de Richter. Mais les surprises ne s'arrêtent pas là. On ne s'attend pas, par exemple, à une chanson comme « Deine Kusine » qui rayonne de légèreté.
Les onze sculptures sonores, que Bohren a libérées de leur redondance grâce à un travail acharné et discipliné, offrent beaucoup de matière pour des voyages acoustiques de découverte.
Comment venir ?